Commerces

Les commerçants du Val Fourré vont parler d’une seule voix - 2023

Constitués en association, les commerçants du Val Fourré vont désormais parler d’une seule voix.

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Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. Ce proverbe résume bien l’état d’esprit dans lequel la toute nouvelle association des commerçants, artisans et professions libérales du Val Fourré vient de se créer.

"Jusqu’à présent, chacun parlait pour lui-même. Mais du coup, on manquait de crédibilité, et il était difficile de faire avancer les choses ‘‘, explique Etienne Mendy, propriétaire du Tabac-presse situé sur la dalle Clemenceau, et tout nouveau président de l’association. Nathalie Aujay, adjointe au maire en charge du commerce confirme : ‘‘ À plusieurs reprises, nous avons mentionné les difficultés à identifier les problèmes des commerçants. Il est heureux que les commerçants aient entendu et décidé de fonder cette association. Car nous avons les mêmes objectifs : diversifier l’offre sur l’ensemble du Val Fourré, faire revenir les familles et, plus globalement, faire revivre le centre commercial Mantes 2. ‘‘

Environnement, propreté, éclairage, sécurité : Etienne Mendy entend porter ces sujets pour faire avancer les choses.

‘‘ Ces dysfonctionnements impactent fortement notre activité. Nous souhaitons voir rouvrir le parking souterrain de la dalle et ses 300 places, ce qui simplifiera la venue de nos clients ‘‘, prend-il pour exemple.

« Nous ne voulons plus que les femmes aient peur de se faire agresser à la tombée de la nuit »

De même, il milite pour plus de sécurité. ‘‘ Nous voulons que toutes les familles puissent revenir faire leurs courses en toute sécurité. Par exemple, l’éclairage public y contribue. Nous veillerons également à ce que les conditions d’hygiène soient mieux respectées par l’ensemble des commerçants. ‘‘ Et parce que tous ont des problématiques communes, Etienne Mendy, le président a échangé avec les commerçants du 105, de Sully, du Flash,
et ceux du Centre commercial du Lac pour qu’ils rallient l’association. ‘‘ Nous voulons que nos commerces retrouvent leur dynamisme. Faire cause commune est un bon moyen d’y parvenir ‘‘, pense-t-il.